Jaden s'éloignant l'esprit un peu confus de voir le vide en face, finit pourtant par revenir vers le duveteux chat gris anthracite étendu dans la neige. Une question demeurait est ce que ce vide qu'il redoutait tant était réel ?
Alors, le jeune garçon plongea le doigt dans le trou de l’œil percé doucement, touchant les chairs intérieur et des sensations humide et molle sous son doigt. Au début, il exprimait un « beuuarg » répugné. La curiosité, elle, était bien plus forte que le dégoût. Du coup, tentative par tentative il enfonçait de plus en plus son doigt puis ne pu plus, à chaque fois qu'il en ressortait de drôle de résidu rose et sale restait accroché à ses ongles. Il saisit dans sa poche sa pierre fétiche celle que son grand frère Jonas avait taillé pour lui, son coté était acéré et tranchant. Voilà, ce que Luka pensait qu'il était anormal de faire pour un jeune garçon, mais Jaden ne le comprenait pas. Il ne saisissait pas pourquoi avoir planter la pierre dans le corps encore chaud et avoir ouvert cette créature était un mal. Comparer à quoi ? Les bûches dans l'atre ? Ou la table de la salle à manger ? Et les repas ? Il ouvrit le petit corps laissant couler à gros bouillon le sang et les organes tombant mollement dans la neige et colorant se qui ne fut que blanc. La neige, les mains du jeune garçon qui s'enfouir dans le ventre brulant, sortant élément par élément, chacun étonnant de surprise l'enfant, qui ne s'attendait pas à autant de chose. Il s'attendait à un vortex, un vide, voir même un nouvel espace des brumes, mais des reins, des muscles, des boyaux... jamais. Il les tritura au début honteux de tout sortir cherchant à ton renfler dans le petit corps mort. Puis, il comprit simplement que les remettre ne changerait rien, ne changerait rien à la mort, alors, il vida, dissocia quelques bouts, plongea ses mains au plus profond, les remontant par la gorge, par les pattes étaient voir si elles étaient des tuyaux, et par bien d'autre endroit. Il interrogeait le silence de la mort face à lui ne comprenant pas ce à quoi cela rimait. Le dépit et l'ennui finit par le rattraper alors que la neige sur ses fesses avait transpercé son pantalon et lui mouillait le postérieur. Il remit chaque éléments dans le corps refroidissant à vu de sensation et tira sur la peau comme pour refermer par magie le cadavre.

Une fois les morceaux du reflet fissuré et tombant au sol... je revenais une nouvelle fois les pieds dans le présent, le cristal translucide planté sur ma pipe longue en bois patiné, à l'usure de ma poche. L'allumette émit un craquement et fit feu à l'objet qui émit une épaisse fumée forte et odorante. J'avais souvent cette drôle d'impression lorsque j'en arrivais à vouloir me perdre la tête dans la came, la dope, peut importe le nom ; de ne pas maîtriser un seul de mes gestes. Finalement, je concevais que le cristal était venu à ma pipe seul, que l'allumette l'avait embrasé sans nulle aide de mes doigts et que mes poumons avalaient l'air toxique avec plaisir. Je m'étendais lentement sur  le matelat de cette chambre que je me payais souvent pour la paix, au première étage première porte à gauche de la bonne main. Je me laissais absorbé par le tissus pour m'envahir du tissus et du plaisir de retrouver une amie fidèle... en bout de pipe dont le bec embrassait ma langue passante entre mes dents. Certains pensent que le sexe peut défier le goût de l'évasion par fusion chimique, seul ma bouche emplie d'une fumée dense et blanche savait à l'évidence que mon cœur aimait bien plus mes amantes en fiole et substrat alchimique, les accueillant toujours avec l'élégance d'une trique solide planqué dans les tissus de mon pantalon de cuir. Qu'importe la décence lorsque seul les gerbes de vapeurs enivrante et moi partagions le secret de mes émois physique. Mes yeux étaient mi clos contemplant le plafond lécher par les volutes blanches, un frisson effroyable de manque m'ayant traîner jusqu'à cette situation. Je pensais fugacement à l'extase et son sens, celui commun de l'octroyer exclusivement aux relation charnelle. Le sexe... ne valait pas une seule seconde ses moments là... si simple... et je revoyais se moment si compliqué qui survenait à la suite de l'histoire cérébrale que je menais, interrompue pour venir fumer les larmes des anges.

« Lorsque cette impression ou le miroir se brisais, je n’eus pas peur et pourtant il était clair que désormais je savais, que se n'était pas un arbre. Les souvenirs revenaient me tarauder insidieusement et pourtant je n'avais aucun crainte, je comprenais au delà de tout mon sourire et mon rire. Je me voyais se balancé à bras de lame se planter dans la chair molle et débordante de sang qui jaillissait à gros bouillon, maculant mes mains, mes vêtements, mon visage. Si cela avait été tout, j'ai cinglé de pierre, chaque pièce de chaque membre que j'avais grossièrement détaché et tout jeter au fond des eaux alors que le lac arrivait à sa période de grand gel pour enfermer mon secret. Au fond, j'avais toute les raisons d'en être arrivé là. Cet homme au fond du lac qui nourrirait les algues ondulantes était un monstre. Il me battait régulièrement, et même si il n'était aucune mort, elle était cérébrale et d'une lenteur agonisante. Lorsqu'un enfant se réveille chaque jour dans la peur, car un monstre lui a donné se goût de réalité, il ne faut nullement se surprendre, qu'il en fasse un monstre à son tour. Alors, que je retrouvais le calme, les mains s'apposant sur le bord de la cuve de cuivre pleine, je pris un instant pour pensé au douleurs encore fraîche dans mon dos, ouverte et suintante au point ou plus un seul de mes vêtements ne paraît pas le motif zigzaguant de rayures sanguine que j'y laissai en ne faisant que les porter. D'un geste lent j’ôtais mon haut, de mon corps se taillant visiblement donnant une bonne idée d'esquisse de musculature, et ceci de manière précoce. Je laissais respirer les cicatrices ouvertes et violacées, respirer en sachant que la personne qui fracassait cette badine, avant même qu'elles puissent se refermer, n'était plus là... ils s'étaient noyé dans le lac. Mon esprit s'évoquait les comptes ou les hommes tuaient les dragons au point de se sertir le manteau de leur écaille pour y libéré leur promise,  et réalisait doucement qu'il n'était pas grande différence entre se dragon geolier ainsi que son simple bourreau avec se qu'il s'était produit, à la différence que je fus dulcinée et bourreau. Malgré toute ses choses qui me faisait me dire que j'avais bien agis, je savais au fond que ça n'était pas le cas, du moins au regard du monde sur le meurtre d'un autre être humain, alors que la nuance me semblait si légère comparer à la chasse et aux bêtes éviscérées. Jaden n'était plus vraiment un enfant, j'avais compris bien des choses durant ses années. Pourtant cette fois ci, était la chose la plus inédite que j'ai pu aborder... et j'avais compris, j'aurai à me taire, ne jamais parler de ce moment d'infini perfection ou le mal se contempla enfin dans le reflet d'une hache. Je regardais mon reflet de nouveau dans l'eau sans un clignement de paupière pour ne jamais oublier, le visage d'un meurtrier.
Puis, j'entendis le grincement typique de la porte de la salle d'eau et là je vis ma mère médusé me regardant de bas en haut, elle voulu probablement hurler mais elle se contenta du silence l'avalant à grande louche, la bouche ouverte, et de lâcher les serviettes sèches et plié dans ses mains. Les tissus épais tombèrent sur le sol dans un bruit mou et l'espace fut absorbé dans la cavité orbitale grande ouverte des yeux bleu de Monica.


Cette belle femme grande et blonde vacilla tremblante comme au abord de la mort. Elle vint se saisir de l’encadrure de la porte en me regardant dans mes vêtements de pourpre. Ma mère savait qu'il était là ceux d'une autre et comme si son instinct maternel lui colla une décharge fulgurante, elle rentra dans la pièce fermant à double tour la vieille porte derrière elle, ignorant les serviettes et torchons à carreaux gisant au sol. Elle enjamba tout objet sur sa course après que ses doigts est glisser sur la tête de clef pour venir salir ses mains à me tenir le visage et plongé ses prunelles dans les miennes.


Monica eut un mouvement de recul  au point de me lâcher, inspirant brutalement et plaquant ses mains sur sa bouche, comprenant tout se qu'il s'était passé. Une couinement étrange s'échappa de sa gorge déployer pour enfin de nouveau sceller ses lèvres, saisir ses cheveux et trépigner sans but aucun dans la pièce. Je voulus ajouter quelque mots mais elle se rua à nouveau vers moi et déposa deux longs doigts fins sur mes lèvres brutalement. Ma mère ouvrit doucement la bouche pour se prononcer mais elle troqua l'action contre celui de faire glisser doucement les doigts m'ayant tenu en silence sur le galbe de ma bouche en suspend. Je restai choqué par ses gestes que je commençais à bien trop connaître et comme reprenant la paix intérieur dan s la contemplation des formes de ma bouche, elle s'approcha d'un pas venant à un e proximité dangereuse de moi, qui demeurait dans cet état végétatif, entre la surprise et l'angoisse latente.



Elle vint glisser ses mains sur mes pommettes hautes naissantes, se maculant les mains de fluide vitaux, et vint joindre mes lèvres au mienne. J'écarquillai les yeux et la repoussait brutalement comme si une chose infecte, ou que je ne tolérai plus était venu chercher le peu d'innocence que je pouvais avoir. Dans le geste, je vis ses yeux se muer en rage froide.


Une envie exécrable de vomir me prit, ainsi que la tétanie, l'impuissance, l'animal s'était prit au piège... à vouloir éviter la fatalité.  Je me voyais face à moi même au dessus de l'épaule au parfum de rose de ma mère. Je me regardais hurlant, les ongles enfoncé dans la peau de mes joues et s'en arrachant la mâchoire, les yeux écarquillés me regardant, le sifflement revint, un besoin infernal revenant à la charge... mais j'étais si usé à l'instant, les issus se refermant toute d'elle même. Je sentis mon pantalon s'affaissé sur mes hanches alors que les mains de ma propre mère s'y glissait pour le mener à la force de l'inertie. Ses dents venant mordre le lobe fragile de mes oreilles pour venir m’empoisonné dans un murmure.


J'étais devenu trop vieux... j'avais 13 ans à peine et pourtant j'étais bien trop vieux pour me faire laver. Aucun membre ne me répondait alors que mes lèvres passaient régulièrement entre les siennes, et que ma vue restait rivé derrière elle, sur mon image hallucinatoire qui se détruisait chair par chair avec les ongles.
Baptisé à l'horreur elle me plongea le corps dans l'eau je me laissais couler sans même prendre conscience comme elle avait pu me mener jusque dans la bassine cuivrée. Le liquide vint absorber mon visage regardant le plafond en eau trouble, à usé les poumons, à vider chacun de leur recoin, une envie amère de crever, noyer... L'instinct de survie est bien plus fort que la simple envie d'éteindre sa lampe mentale. J'émis une foison de bulle blanche émanant de ma bouche béante voulant hurler, mais la voix fut absorber par le monde du silence. Mon visage et tout mon buste crevait la surface, soudainement, remuant l'onde de l'eau dans la cuve de cuivre. Monica vint déposer ses lèvres sur ma frêle épaule encore en adolescence et parcouru mes cheveux mi long blond peroxydé assombris d'humidité, de ses doigts les coiffant en arrière.


Il était vrai. Je ne comprenais rien des choses qui se tramait autour de moi, cette chose grandissante dans mes tripes. Je haïssais la minute et pourtant je souriais en pensant à se qui était accomplis. Ce monde tournait et j'étais à son angle mort, je voyais tout d'une vue que personne n'avait et pourtant dans mon coin... personne ne me percevait, à part moi. Je finis par me retrouver devant un miroir poli plus net que celui en salle d'eau assis devant la coiffeuse de ma mère, serviette sur les épaules et je regardais se visage se durcissant, les cheveux plaqués en arrière, coulant sur mes épaules, mes yeux dans mon regard bien trop pale pour savoir se qu'il allait se passer. Dans une sorte de ballet silencieux en proie aux affres du calme, cette belle femme au cheveux aussi blond que les miens noués dans une tresse longue vint posé de cette tisane aux orties que j'aimais sur la surface de bois de hêtre de la couveuse. J'observai sa fumée montante, nu sur cette chaise, simplement couvert d'une longue serviette spongieuse, noué pudiquement autour de moi.  
Monica s'assit sur le rebord du lit et comme à son habitude se coiffa  lentement sans pour la première fois me demander de le faire. Elle me regardait avec toute la tendresse d'une mère alors que le galbe de mes lèvres vinrent à la rencontre du liquide chaud. La brûlure me conforta bien plus qu'elle ne me surpris.


Je posai brutalement comme si la porcelaine me rongeait les doigts, la tasse et la regardait l'air défait commençant à comprendre physiquement de quoi il s'agissait. Je me levai et allait d'un pas lent vers la porte, elle vint me retraper me saisissant le poignet. Elle distilla à la seringue dans le tympan des mots effroyable « tes frères sont juste la derrière ». Je me sentais intimement prendre consistance contre mon bon vouloir, l'estomac se distordant, la bile à la porte des lèvres. J'étais purement... impuissant.. »

Mon corps étendu sur les draps fut parcouru de spasme, alors que les images fusaient, une bave blanche et épaisse me coulant sur le menton, les yeux se révulsant. La porte vrombissait de frappe puissante à ma chambre de la taverne.

«  Ma mère à genoux devant moi me fixant au bois de la porte et je sentis ses lèvres et sa langue venir me parcourir. Mes globes tombant de leur cavité oculaire, tant mes paupières entrouverte ne pouvait retenir quoi que se soit en leur sein. Un souffle grésillant comme retournant à l'état de simple bloc de métal mécanique. »

La porte fut ouverte brutalement sans mon consentement, alors que dansait les images du plafond flou et difforme.

«  Les vêtements glissèrent sur sa peau d'ivoire mes yeux ne cherchant pas à voir et pourtant voyant. Mes mains amenés à ses formes, jeter comme une poupée de chiffon sur les draps proprement agencé sur le lit. Elle vint me chevaucher lentement pendant qu'elle décidait du mouvement de mes mains. Ma tête me brûle, je vais implosé... Alors qu'au loin, la glace se formait sur le lac ou j'avais avouer mon crime. Je tremblais légèrement, respirant à peine trop en proie à incompréhensible terrifiante. Puis je sentis nettement la chaleur humide glisser sur mon membre solidifier par le contenu de la tisane. Brutalement, je me redressais pour demander que se non sens s'arrete, avant qu'une main sur ma bouche me ramène aux oreillers et que ses doigts s'enfoncent entre mes dents, m'imposant le mutisme. Cette danse macabre d'aller venue, pendant que j'étouffais sous la fine main et que le simple regard sulfureux plonger dans le miens, la rougeur sur ses pommettes pendant que la mécanique suante de ses gestes dégageait un son immonde, loin du serein de la hache sur le bois, celui d'un claquement de peau contre peau. Elle eut un gémissement, je mordis à pleine force le groupement de doigt chatouillant ma langue de force. Ma mère me gifla et vint prendre mon visage fortement, creusant mes joues et me forçait à la contempler.


Le pire fut peut être que parmi le soubresaut vomitif qui me secouait, j’eus trouver quelque râle d'une sensation que je ne m'octroyais que seul. J'étais dingue... fou à lié... je ne m'étais jamais sentis si faible, pitoyable insecte, alors qu'elle jouissait avec l'état d'objet auquel elle m'avait réduit. »

Je me sentis entraîner porter, au mieux quand mes jambes ne portait plus. Mes yeux roulant rouge et acide de n'avoir pu d’humidifié. Mes jambes glissantes sur les pavés alors que l'on m'emmène d'urgence à l’hôpital d'avant garde de Salma.
Je regardais le sol et ma coquille de givre se fissurait au fur et à mesure que les images parasitaient ma vue. Aucun mot, juste un goût amère de petit dej' mal digéré dans la bouche et une odeur de merde montante aux narines. Les silhouettes dansent autour de moi et j'ignore qui me traîne dans les ruelles sombres. Quoi qu'il en était l'overdose me happait lentement dans le noir.



«  Je me réveillais en sursaut et regardait au dehors, combien de temps avais je laissé filer ? Poser sur les mains, je regardais la neige tombante derrière les fenêtres bleu glacée. Je sortais de la couche de ma mère et m'habillait lentement, calmement comme si rien finalement ne s'était passé durant les jours précédents. Je me sentais étrangement bien. Je nouais ma petite ceinture de cuir et laissait glisser mon haut limé sur mon visage. Je m’arrêtais à nouveau un instant et regardait la neige tombante par flocon léger. Une inspiration longue et un sourire vint fendre mon visage de la cicatrices d'un sourire. L'horreur ? J'en avais toujours pris le goût. Seul, l'incapacité à la maîtrisé m’éreintait. Mais se matin là, ou j'entendais mes frères se faire remonter les brettelles par ma mère, d'un son distant et lointain, je comprenais une chose. Cette chose me faisait me sentir si bien. Dans un pas silencieux je me plantais face au miroir et tirait un compartiment de la Coiffeuse, sortant une longue paire de ciseau ou je vis un instant mon reflet vacillé. Mèche par mèche je fis tomber mes cheveux long, pour ne laisser qu'une coupe courte que je coiffas calmement en arrière. D'un geste certains je glissais les ciseaux à ma ceinture et vint saisir le pot de charbon qui servait à noircir les yeux de ma si proche mère. Alors, d'un geste de doigt, je vins tracé des pointillés régulier sur mon visage, dissociant chaque élément de ma peau, de ma chair, de mes os si mortels. Puis je restais un instant, devant mon visage distordu par les marques de fard noir, j'étais laid, immonde, monstrueux, infâme... et cela me fit paisiblement sourire. Puis, je tapotai d'un nombre que désormais j'aime plus que tout, le bord du meuble. Le compte fait, je tournai les talons brutalement, saisissant une couverture et empaquetant tout se que je pouvais emporter, descendant nonchalamment et bardant mon baluchon de couteau reluisant. Puis, sans un mot, je sortis par la porte arrière, vivement traversant la neige, tenant mon sac de fortune, le visage bariolé de marque.  Je laissai dans l'ombre de mes pas mon sillage. Le ciel était d'un blanc laiteux et le vent piquait de froid. Je dévalai les congères, les joues rougies par le gel, qui descendait en pente abrupte, mais pour tout dire ses chutes, je les connaissais par cœur. Continuant sans me retourné bariolé comme un monstre foire, à enchaîner les mouvements de mes jambes, jusqu'à sentir le sol craquer sous mes pieds. Mes yeux bleus azurés descendirent sur la glace sur lequel je marchais, fissuré dans un Halo de mise en garde. Autour de moi, le Lac, j'étais en son plein centre. Je pris un instant, pour regarder la possible noyade que les commissures de la glace se propageant lentement me laissait entrevoir et je ne vis que les deux blanches Cereistes de Luka, imaginaire, me mirant sous le manteau de givre. J’eus un léger rire et murmura.


Je repris ma marche d'un pas franc laissant la glace se disloquer derrière moi à l'image du gosse, du père et de se monde infect. Amen. »